Thème 2023 : "Passage / Pas sage"
Les artistes 2023
Alain Barthélémy
Dominique Baron-Narbonne
Olivier Blotierre
Gislaine Calviac
Maurice Calviac
Monique Chaume
Edmond Garros
Christian Loussert
Patricia Paty
Jean-Louis Rabeau
- Peintres, sculpteurs, gravures
- Photographes
Alain Barthélémy
Dominique Baron-Narbonne
Olivier Blotierre
Gislaine Calviac
Maurice Calviac
Monique Chaume
Edmond Garros
Christian Loussert
Patricia Paty
Jean-Louis Rabeau
Quelques photos de l'édition 2023
Les artistes et leur travail
Monique Baisse
Je suis Tarnaise et j’habite sur la commune de Chahusac-sur-Ver.
Je suis à la retraite depuis plusieurs années, j'ai toujours fait de la photo, paysages, photos de famille, souvenirs de vacances, macro.
J'ai découvert le Club des cordeliers qui me permet de me perfectionner avec l'aide de ces membres qui sont à l'écoute, mais surtout j'en apprécie l'ambiance très sympathique
Je suis Tarnaise et j’habite sur la commune de Chahusac-sur-Ver.
Je suis à la retraite depuis plusieurs années, j'ai toujours fait de la photo, paysages, photos de famille, souvenirs de vacances, macro.
J'ai découvert le Club des cordeliers qui me permet de me perfectionner avec l'aide de ces membres qui sont à l'écoute, mais surtout j'en apprécie l'ambiance très sympathique
Alain Barthélemy
Né à Albi, j’ai fait toute ma carrière en région parisienne. Après avoir fait de la vidéo pendant des années, je me suis décidé à me lancer dans la photographie. J’ai commencé avec l’argentique puis je me suis laissé convaincre par le numérique. Par la suite j’ai découvert les clubs photo dans lesquels j’ai rencontré des photographes de grand talent.
J’ai choisi la photographie car c’est une activité vraiment complète puisqu’elle met en jeu aussi bien l’artistique, la technique, l’informatique et même le physique. Elle apprend à comprendre les gens, à les diriger pour tirer le meilleur d’eux-mêmes et à les sublimer pour l’éternité. Grâce à la macrophotographie le jardin se transforme en un univers inconnu et infini
Maintenant retraité, je suis revenu à mes racines. Pendant quelques années j’ai occupé le poste de formateur au sein du club photo de Gaillac puis je me suis décidé à rejoindre le club des Cordeliers afin de faire évoluer mon expérience vers une autre façon de travailler autour de projets construits et réfléchis. J’ai découvert dans ce club des artistes de grand talent, très motivés et une belle ambiance.
Né à Albi, j’ai fait toute ma carrière en région parisienne. Après avoir fait de la vidéo pendant des années, je me suis décidé à me lancer dans la photographie. J’ai commencé avec l’argentique puis je me suis laissé convaincre par le numérique. Par la suite j’ai découvert les clubs photo dans lesquels j’ai rencontré des photographes de grand talent.
J’ai choisi la photographie car c’est une activité vraiment complète puisqu’elle met en jeu aussi bien l’artistique, la technique, l’informatique et même le physique. Elle apprend à comprendre les gens, à les diriger pour tirer le meilleur d’eux-mêmes et à les sublimer pour l’éternité. Grâce à la macrophotographie le jardin se transforme en un univers inconnu et infini
Maintenant retraité, je suis revenu à mes racines. Pendant quelques années j’ai occupé le poste de formateur au sein du club photo de Gaillac puis je me suis décidé à rejoindre le club des Cordeliers afin de faire évoluer mon expérience vers une autre façon de travailler autour de projets construits et réfléchis. J’ai découvert dans ce club des artistes de grand talent, très motivés et une belle ambiance.
Dominique Baron-Narbonne
Née dans le Tarn, pur produit local, fidèle au Tarn.
Pourquoi la photo ?
Est-ce que l'on peut l'expliquer ?
Une passion depuis l'adolescence, la chambre noire, les bains pour les tirages, les photos accrochées sur les fils...etc.
La photo est restée une partie de moi-même, une nécessité, une curiosité, une soif d'apprendre, un besoin de pratiquer, de chercher, d’effacer, de recommencer, sans jamais renoncer, le plus souvent seule ou en petit comité.
Née dans le Tarn, pur produit local, fidèle au Tarn.
Pourquoi la photo ?
Est-ce que l'on peut l'expliquer ?
Une passion depuis l'adolescence, la chambre noire, les bains pour les tirages, les photos accrochées sur les fils...etc.
La photo est restée une partie de moi-même, une nécessité, une curiosité, une soif d'apprendre, un besoin de pratiquer, de chercher, d’effacer, de recommencer, sans jamais renoncer, le plus souvent seule ou en petit comité.
Olivier Blotierre
Gislaine Calviac
Je suis une photographe amateure.
J’habite Gaillac dans le Tarn
Mon appareil photo est un hybride CANON EOS R7
En 2017, j’ai commencé à suivre des cours de photo numérique au sein du club de la MJC de Gaillac. Des photographes professionnel et amateur m’ont appris les premiers rudiments de la photo car, auparavant, je me contentais des fonctions automatiques. Peu à peu, j’ai progressé et la photographie est devenue une passion.
Pour les prises de vues, je fais un peu de tout : paysages, monuments, scènes de rue.
En post-traitement, je fais du recadrage et du traitement de la lumière et parfois un peu de fantaisie. J’utilise Lightroom et Photoshop.
Je suis une photographe amateure.
J’habite Gaillac dans le Tarn
Mon appareil photo est un hybride CANON EOS R7
En 2017, j’ai commencé à suivre des cours de photo numérique au sein du club de la MJC de Gaillac. Des photographes professionnel et amateur m’ont appris les premiers rudiments de la photo car, auparavant, je me contentais des fonctions automatiques. Peu à peu, j’ai progressé et la photographie est devenue une passion.
Pour les prises de vues, je fais un peu de tout : paysages, monuments, scènes de rue.
En post-traitement, je fais du recadrage et du traitement de la lumière et parfois un peu de fantaisie. J’utilise Lightroom et Photoshop.
Maurice Calviac
Qu’il est loin le temps de l’argentique ! Ses longues séances de préparation des produits, à la bonne température, la mise en boite du film (noir complet obligatoire) et son développement, avec au bout la surprise, puis la demi-journée consacrée au tirage. Ce que j’aimais bien, c’était l’odeur du fixateur (pas l’idéal pour les poumons).
Ce temps est désormais révolu pour moi. La facilité du numérique et sa qualité, maintenant de haut niveau, sont passées par là.
Et pourtant !
Je viens de faire main basse sur un lot de plus de 800 diapos, oubliées dans un grenier ; je les ai faites numériser … et le charme opère à nouveau. Malgré les années (les plus récentes ont plus de 40 ans !) elles n’ont pas trop mal vieilli. Je mesure aussi les progrès que j’ai pu faire, notamment grâce à l’émulation que procure la participation à un club photo.
J’ai eu la chance de pouvoir exposer, notamment en solo ; c’est une riche expérience que je recommande : il faut oser se lancer, et ensuite, quel bonheur ! C’est enrichissant, car on voit là de quoi on est capable (on a toujours tendance à se sous-estimer).
La participation à l’Atelier photographique des Cordeliers procède de cette démarche participative et constructive ; ce n’est pas un lieu consacré exclusivement à la technique et ça me convient parfaitement.
Qu’il est loin le temps de l’argentique ! Ses longues séances de préparation des produits, à la bonne température, la mise en boite du film (noir complet obligatoire) et son développement, avec au bout la surprise, puis la demi-journée consacrée au tirage. Ce que j’aimais bien, c’était l’odeur du fixateur (pas l’idéal pour les poumons).
Ce temps est désormais révolu pour moi. La facilité du numérique et sa qualité, maintenant de haut niveau, sont passées par là.
Et pourtant !
Je viens de faire main basse sur un lot de plus de 800 diapos, oubliées dans un grenier ; je les ai faites numériser … et le charme opère à nouveau. Malgré les années (les plus récentes ont plus de 40 ans !) elles n’ont pas trop mal vieilli. Je mesure aussi les progrès que j’ai pu faire, notamment grâce à l’émulation que procure la participation à un club photo.
J’ai eu la chance de pouvoir exposer, notamment en solo ; c’est une riche expérience que je recommande : il faut oser se lancer, et ensuite, quel bonheur ! C’est enrichissant, car on voit là de quoi on est capable (on a toujours tendance à se sous-estimer).
La participation à l’Atelier photographique des Cordeliers procède de cette démarche participative et constructive ; ce n’est pas un lieu consacré exclusivement à la technique et ça me convient parfaitement.
Monique Chaume
Photographe amateur depuis de nombreuses années.
Je faisais surtout des photos de voyages et d’évènements familiaux. A la retraite, je décide de consacrer plus de temps, à cet art qu’est la photographie. Je m’inscris à un club à Gaillac où je perfectionne la technique.
Plus tard je rejoins l’Atelier Photographique des Cordeliers. Je rencontre là des gens toujours prêts à partager simplement leur savoir dans une bonne ambiance et surtout à mener des projets d’un grand intérêt. Mes goûts se portent essentiellement sur les paysages, notre riche patrimoine et les sorties photos à thème que nous réalisons ensemble.
La photographie reste pour moi un loisir qui me permet de voir d’un autre œil ce qui m’entoure.
Photographe amateur depuis de nombreuses années.
Je faisais surtout des photos de voyages et d’évènements familiaux. A la retraite, je décide de consacrer plus de temps, à cet art qu’est la photographie. Je m’inscris à un club à Gaillac où je perfectionne la technique.
Plus tard je rejoins l’Atelier Photographique des Cordeliers. Je rencontre là des gens toujours prêts à partager simplement leur savoir dans une bonne ambiance et surtout à mener des projets d’un grand intérêt. Mes goûts se portent essentiellement sur les paysages, notre riche patrimoine et les sorties photos à thème que nous réalisons ensemble.
La photographie reste pour moi un loisir qui me permet de voir d’un autre œil ce qui m’entoure.
Edmond Garros
Christian Loussert
Pour Christian Loussert, la photographie est devenue une seconde nature. "J'ai toujours été solidaire des plus humbles, de leur inventivité, de leur résistance, de leur joie de vivre", dit-il avec fierté. Il revisite avec la photographie le travail manuel, soulignant en quelques clichés la noblesse de ceux et celles qui l’exercent, Ouvriers(es), Artisans ou Artistes, dans leurs traditions et leur modernité.
Il participe à de nombreuses expositions, dont celle de Cordes-sur-Ciel (Tarn) qui résume son travail
« mettez de l’art dans votre vie » (octobre 2020/février 2021).
Mais aussi à la « Fête des arts de la rue » à Graulhet en 2019. Aux expositions à thème à Gaillac notamment « Les ruelles des villages du Tarn » ...
Il prépare un travail sur les « vieux » vignerons du Gaillacois et une série sur le XXIè siècle.
Pour Christian Loussert, la photographie est devenue une seconde nature. "J'ai toujours été solidaire des plus humbles, de leur inventivité, de leur résistance, de leur joie de vivre", dit-il avec fierté. Il revisite avec la photographie le travail manuel, soulignant en quelques clichés la noblesse de ceux et celles qui l’exercent, Ouvriers(es), Artisans ou Artistes, dans leurs traditions et leur modernité.
Il participe à de nombreuses expositions, dont celle de Cordes-sur-Ciel (Tarn) qui résume son travail
« mettez de l’art dans votre vie » (octobre 2020/février 2021).
Mais aussi à la « Fête des arts de la rue » à Graulhet en 2019. Aux expositions à thème à Gaillac notamment « Les ruelles des villages du Tarn » ...
Il prépare un travail sur les « vieux » vignerons du Gaillacois et une série sur le XXIè siècle.
Patricia Paty
Jean-Louis Rabeau
La photo a toujours fait partie de ma vie.
En 1978, avec mon premier salaire, je me suis offert un Pentax K1000, un appareil argentique mythique, qui m'a accompagné de nombreuses années.
Le passage au numérique a été naturel, j'ai été membre de nombreux clubs photos. Actuellement au club "Albimage" d'Albi, je participe à des concours nationaux pour lesquels mes photos ont été classées.
Mon travail sur les artisans Cordais a été publié dans le magazine "France Photographie ". L'Office du Tourisme de Cordes en a sélectionné une pour faire la publicité d’une exposition.
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100079944654286
Instagram : https://www.instagram.com/jeanlouisphotos/
La photo a toujours fait partie de ma vie.
En 1978, avec mon premier salaire, je me suis offert un Pentax K1000, un appareil argentique mythique, qui m'a accompagné de nombreuses années.
Le passage au numérique a été naturel, j'ai été membre de nombreux clubs photos. Actuellement au club "Albimage" d'Albi, je participe à des concours nationaux pour lesquels mes photos ont été classées.
Mon travail sur les artisans Cordais a été publié dans le magazine "France Photographie ". L'Office du Tourisme de Cordes en a sélectionné une pour faire la publicité d’une exposition.
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